Le carnet d’entraînement doit permettre de connaître et d'évaluer la charge de travail, de savoir comment on l'a supportée, de se remémorer ses objectifs et de se souvenir de ses résultats en compétition.
Vous pouvez donc y faire figurer tout ce qui a trait à vos entraînements et à vos compétitions.
A minima : la date, la durée, le kilométrage, le type de séance, le pourcentage de votre VMA et de votre FCM mit en oeuvre.
Dans l'idéal :
- Le jour et l'heure de l'entraînement ou de la compétition.
- Le temps qu'il faisait ce jour-là, à cette heure-là.
- La durée totale de la séance exprimée en heure, minute, et seconde.
- Le type de séance (endurance fondamentale, fractionné au seuil anaérobie, allure spécifique de compétition, fractionné VMA, allure de récupération, compétition).
- Le nombre de kilomètres parcourus.
- Pour les séances de fractionnés, le pourcentage de votre VMA mit en oeuvre, les chronos réalisés pour chaque segment, pour chaque série.
- Pour les compétitions, les temps de passage et vos sensations avant et après la course.
- Votre poids.
- Vos fréquences cardiaques pour celles et ceux qui ont un cardiofréquencemètre.
- Vos sensations à la fin de la séance ( très bonnes, assez bonnes, moyennes, galères, etc.).
- Vos bobos et blessures. (Si vous tenez un carnet d'entraînement, vous vous donnerez plus de chance de savoir pourquoi vous vous êtes blessé).
Cette liste n'est évidemment pas exhaustive.
Il faut renseigner ce carnet chaque jour d'entraînement. N'attendez pas le lendemain.
Prévoyez des récapitulatifs sur la semaine, le mois, l'année.
Les tableurs de type Excel de Microsoft ou Calc d'OpenOffice vous permettront non seulement de mettre en forme facilement votre carnet sur ordinateur mais aussi de réaliser des graphiques récapitulatifs analytiques, très instructifs.
Sur papier, un simple crayon et une calculette suffisent.