Denis VIOLLEAU
Nom et prénom : VIOLLEAU Denis
Date et lieu de naissance : 19 Août 1959 à NIORT
Situation de famille : Séparé, 3 enfants
Domicile : VOUILLE
Profession : TECHNICIEN RESEAU PRESTATAIRES
Club ou association : IMA ASSOCIATION SPORTIVE
Denis, tu es de retour à la compétition après un arrêt important pour blessure, peux-tu nous en dire un peu plus ?
Retour à la compétition est un bien grand mot, disons que j’ai décidé de reprendre un peu les courses, histoire de me faire plaisir car effectivement, suite à une douleur fessière, j’ai mis en stand by cette activité pour me soigner. J’ai consulté des centres anti douleurs à Nantes mais malheureusement il n’a pas été mis de nom particulier à ma douleur par le corps médical et seulement des infiltrations m’ont été faites, ce qui n’a réglé en rien le problème. Aujourd’hui ma vie personnelle est en train d’évoluer et pour oublier un peu tous les petits tracas quotidiens, j’essaie de chausser mes baskets et je pars dans la campagne m’aérer un peu la tête. Mais j’aime également le vélo de route et le VTT. Je suis parti cette année en Provence avec l’objectif de faire l’ascension du Ventoux, sommet mythique pour l’amateur que je suis. J’ai donc effectué cette montée de 22 kilomètres pour arriver au sommet et savourer mon exploit. Et en fait, je prends un réel plaisir à grimper les cols, à regarder le paysage qui m’entoure, à contempler tout simplement la beauté de la nature.
A quand remontent tes débuts en course à pied et te souviens-tu de ta 1ère compétition ?
J’ai effectué ma première course à pied sur Niort accompagné de mon frère jumeau ; c’était en Juin 1989 sur une course qui s’appelait alors « Les 20kms de la Police ». Nous étions alors tous les deux débutants dans cette activité mais j’avais déjà touché à pas mal de disciplines comme le Ping pong, j’ai fait du foot jusqu’en 1982, puis du volley aussi et je m’étais donné comme objectif de faire des Raids Nature d’où ma décision de me mettre à la course à pied. A propos des Raids multisports, je rends hommage aujourd’hui à Bernard GAUDIN que j’ai côtoyé pendant quelques années et qui était un sportif accompli de très haut niveau mais d’une gentillesse à toute épreuve.
Tu t’occupes de la section sportive d’IMA, quels sont les différents sports proposés et combien de salariés en font parti ?
Je m’occupe effectivement de la section « Courses à pied » à Inter Mutuelles Assistance où une petite trentaine de passionnés évoluent et puis il y a aussi une section randonnée, parachutisme, voile, football, tir au pistolet, badminton, golf, yoga et je dois en oublier sans doute !
Quels sont tes prochains gros objectifs de la saison ?
Mon objectif premier reste très modeste et se cantonne avant tout à trouver du plaisir dans ce que je fais en sport, que ce soit vélo ou course à pied. J’aime cette ambiance qui règne lors de toutes ces manifestations sportives mises en place par des gens amoureux eux aussi de ce sport. J’en profite pour faire un petit clin d’œil à ces personnes pour les remercier de leur engagement car, et tu es bien placé pour le savoir étant toi-même organisateur de la très belle « Fressi’nature », il n’est pas toujours évident de sensibiliser les gens autour de soi pour que vivent ces courses, que ce soit contrôleur, commissaires, autorité, sponsors… la liste est longue. Donc disais-je, pas d’objectif particulier en ce qui me concerne, je prends seulement le temps de me rendre sur les courses qui sont dans les alentours avec la seule ambition de les terminer avec le sourire.
Si tu avais une course que tu rêverais de faire, quelle serait-elle ?
Peut être le Grand Raid de la Réunion. Car il faut que je vous dise quand même que j’affectionne nettement plus les « Trails » que les courses sur route. Pour avoir fait « Les Templiers, la 6000D et autres Gendarmes et Voleurs de temps », mon amour de la nature et des beaux paysages n’en est que plus récompensé.
Denis, te voir un jour sur un 100 bornes, est-ce possible ?
J’y ai pensé à une époque, il y a quelques années déjà mais au jour d’aujourd’hui je crois que je n’aurai plus l’occasion de m’inscrire à ce genre de course au vu de mes petits problèmes fessiers. Si je cours encore aujourd’hui, je m’astreints à ne pas m’inscrire sur des courses dépassant 12 ou 15 km maxi, au delà de ce kilométrage, je souffre !
Propos recueillis par : OP Rat370 / n°23 – Août 2014
Date de dernière mise à jour : 05/07/2021
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